[ La transparence n’est pas une « vertu » en démocratie, c’est un devoir ! ]

Lors du conseil municipal du 8 février, M. Commun, adjoint au maire chargé des finances et de la tranquillité publique, dit ne pas comprendre pourquoi nous utilisons les termes d’opacité et de manque de transparence sur les méthodes de l’équipe municipale. Il nous reproche également de ne pas avoir de propositions constructives, et souhaiterait que nous soyons positifs. Petit retour en arrière :

Lors de la mise en place des 4 jours et demi en 2014, ou bien le retour à la semaine des 4 jours en 2020, y-a-t-il eu une réelle concertation avec les parents et les enseignants, ou tout était-il déjà ficelé ?

Lors de la mise en place de la semi-piétonnisation de la rue Joineau, ni les riverains, ni les commerçants n’ont été prévenus.

Le projet Busso : une parodie de concertation citoyenne avec une décision finale prise par l’exécutif en petit comité.

Le Projet Semanaz : la vente d’un terrain municipal n’a fait l’objet d’aucun débat public. Les riverains n’ont même pas été informés et leur recours rejeté.

Aussi, nous avons alerté et proposé à la majorité d’aider sur plusieurs dossiers. Quelques exemples :

L’irrégularité de la machine à Bitcoin en plein centre-ville.

Les dangers du protoxyde d’azote chez les jeunes.

La diminution jusqu’à ⅔ de la CFE pour aider les entreprises, en lien avec Est Ensemble.

Une gestion de la crise du Covid avec une cellule de coordination.

Proposer des chèques alimentaires pour les familles gervaisiennes.

Avoir des actions sur le plan éducatif après l’assassinat de Samuel Paty.

Alerter sur le risque de fermeture de classes en cascade au collège Jean Jacques Rousseau et comment les empêcher.

De manière générale, toute l’opposition a été force de propositions au cours des derniers mois, au service de l’intérêt général, dans le but de trouver des solutions pour tous les Gervaisiens, n’en déplaise à la majorité.